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18 décembre 2005

Totems : une / troisème (re-clap)

dimanche 18 décembre 2005, par Eric P.

Ce week-end a été léger, pour cause de concert hier soir (en tant que musicos). Donc pas de visite à l’atelier hier, et lever pas très matinal ce matin... Le bon côté de la chose, c’est qu’on s’est bien éclatés (pas vrai Thomas ?), de même que le public apparamment 🙂

Passage à la série

Découpe des différents disques (socle, plus embase du corps) des 3 autres exemplaires. En action, scie sauteuse pour la coupe grossière et ponceuse à bande pour l’ajustage au tracé. On a encore bouffé de la poussière de médium 😕

L’encastrement en force d’un des jacks mâles a tourné au crash ferroviaire. J’ai voulu lui faire comprendre qu’il était temps qu’il accepte de rentrer dans son trou (que j’aurais dû continuer d’agrandir un peu au lieu de faire la brute). Résultat : le filetage du capot n’était plus en état de remplir son rôle. Ca s’est terminé en noyant le jack sans son capot dans le trou à la colle thermo-fusible (après avoir soudé les fils quand-même). Tout compte fait, ça marche très bien et c’est rapide. J’aurais peut-être dû utiliser cette méthode pour tout le monde (sans la phase brutale). Le revers de la médaille est qu’il n’est plus possible de récupérer le jack.

Pistocop à l’oeuvre

La bonne mauvaise surprise

Les jacks femelles achetés récemment chez notre fournisseur attitré (Avenir Elec pour ne pas le nommer) sont différents de celui utilisé pour le proto. Le diamètre du capot est plus gros, et identique au modèle mâle. Il va donc falloir se taper ce travail d’ajustage en force pour les huit emplacements. Galère noire 🙁

Cependant, il semble qu’il y a un dieu pour les bricolos, et en démontant l’intéressé, j’ai découvert qu’au lieu du mécanisme à l’air libre du proto, on a sur ce modèle un carénage cylindrique en métal diamètre 11mm. C’est du plus sérieux que la m...e que j’avais récupérée pour les tests. De plus, le filetage d’extrémité qui permet de fixer le mécanisme dans le capot mord très bien dans le médium. Il faudra juste agrandir un poil le diamètre du trou sur 1 ou 2 mm afin que l’embase s’encastre correctement et affleure le plan de la table. On fera donc comme cela. L’idéal serait que je me procure une mèche à bois de 13mm pour faire rapidement ce lamage. Ca dépendra du prix auquel Casto me la proposera demain...

Il y a quand même un mais : le bestiau est plus long que le précédent, et une seule épaisseur supplémentaire de médium ne suffira pas comme dans le test. On en mettra donc deux, en découpant des bouts dans les cales qui nous servaient à mettre la table précédente à niveau (tout se récupère). Huit carénages de protection sont donc confectionnés dans deux épaisseurs de médium et dans la foulée. Et en plus, ça tombe bien : ça a exactement la même hauteur que les puits pour les balles. J’avais été bien inspiré en choisisant les dimensions de ces éléments. Comme quoi, il y a vraiment un dieu pour les bricolos (ou une bonne fée, à la limite, je préfèrerais 😉

Et pour finir la journée

Passée une certaine heure, c’est trop le frigo dans l’atelier, et je vais finir pas me ruiner avec le ventilateur chauffant. Donc, retour à l’intérieur pour des travaux de soudure, afin de préparer les câblages de tout ce petit monde.

Et voilà le travail :

Jacks femelles câblés
Socles câblés

En marge...

Petit re-looking d’une balle de ping-pong à l’encre de Chine (pour supprimer ses cheveux blancs) :

Peinture de balles noires

Contrairement à ce que la photo pourrait laisser croire, le résultat final est mat : le reflet brillant est causé par le flash, et l’encre n’avait pas entièrement séché au moment de la prise de vue. Pour un résultat optimal, deux couches sont mieux, mais on peut les passer sans trop attendre, car ça sèche vite.

(Vous avez pu au passage noter mes essais de calligraphie asiatique...)

L’astuce pour ne pas s’en mettre plein les doigts est de coller la balle sur un bout de carton ou autre surface au moyen d’un morceau de scotch double-face épais. Une fois sèche, on pourra l’attrapper (la balle, pas le scotch) par la partie peinte afin de terminer le bout de surface resté blanc.

L’encre de Chine a été préférée à la peinture, car grâce à sa fluidité, elle imprègne le matériau de la balle, alors que la peinture aurait fait une couche en surface, probablement fragile et donc rapidement écaillée.

A suivre...

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